48 heures... avant le bonheur!

Quelques aventures et 48 heures ont été nécessaires pour passer de...

à...

                

En effet, il a fallu 

• Prendre l'Eurostar... qui heureusement n'avait pas été annulé comme ceux de la veille à cause de la neige;

• Traverser Londres en Métro; 

• Attendre à Heatrhow pendant 6 heures avant d'apprendre que notre avion était annulé car les techniciens n'arrivaient pas à réparer le train d'atterrissage.... Nous avons été transférés au Radisson pour passer une nuit bien méritée. Retour à l'aéroport à 7h00. Heureusement les iPad sont là ;-). 

• Ensuite nouvelle déconvenue....plus d'appareil de dégivrage disponible, nouvelle perte de 2 heures sur l'horaire (merci British Airways!). Ensuite vol tranquille (certains ont même bien dormi) avant d'arriver à Dar Es Salaam à 00h30.

• A l'arrivée à Dar Es Salaam, 30C° malgré l'heure tardive, le représentant de British Airways promis n'est pas présent... malgré les nombreux coups de fil et les telex de confirmation obtenus à  Heathrow, après des files interminables... encore merci BA ;-)). Après divers palabres, il est déjà 2h00, on décide de s'installer sur la place devant l'aéroport en attendant d'aller vers le terminal pour les vols internes où on a rebooké un nouvel avion pour Zanzibar pour 6h00.

• Finalement, un responsable pointe le bout de son nez et nous sommes transférés dans un bel hôtel du centre.... 2 heures de sommeil pour les enfants et la possibilité pour nous de prendre une douche et de nous changer. Nous sommes retransférés le matin pour prendre notre vol vers Zanzibar... il fait chaud, cela commence à sentir les vacances!

• Expérience géniale que cette sensation d'être suspendus à un fil dans un avion que l'on sent se redresser quand on voit le pilote redresser la barre. On passe au-dessus de la mer turquoise et notre basse altitude nous permet de voir se dessiner des îles auxquelles Pierre et Victor donnent des noms quand elles sont en forme de coeur, de crocodile,...

• Après un dernier trajet en bus, avec le responsable de l'agence qui nous attendait, nous voilà tout à fait dépaysés... "C'est comme dans mon livre, les gens vivent dans des huttes en terre", s'étonne Pierre. Arrivés dans notre petit hôtel, nous sommes éblouis par la beauté de l'eau... Cela valait la peine d'attendre... en route vers l'aventure!